dimanche 30 août 2009

Randonnée pédestre "Vive les boisés" le 4 octobre

La force est dans les nombres, et nous nous sommes regroupés dans la ville pour vous offrir une belle activité. Dans 3 secteurs de la ville de Québec, il y aura des randonnées pédestres ou cyclistes pour valoriser les boisés et les milieux naturels qui tiennent à cœur aux citoyens.

Détails sur la randonnée à Charlesbourg


À Charlesbourg, le 4 octobre à 13h30, il s'agit actuellement d'un projet de randonnée pédestre d'environ deux heures car il y aura des arrêts pour l'interprétation des dits milieux naturels. Nous aurons la chance d'avoir avec nous, pour l'interprétation, Suzanne Hardy d'Enracinart, une spécialiste des arbres remarquables, qui leur a dédié toute sa vie. Les représentants de trois groupes citoyens vous expliquerons également leur attachement à chacun des boisés que nous longerons.

Le trajet :

  • Le départ à 13h30 serait près de l'érablière des Loutres, pour un mot sur toute l'histoire autour du prolongement du boulevard du Loiret. Au coin de la rue des Loutres et des Tulipes.
    Accès RTC : 801, coin des Loutres et Henri-Bourassa.

  • Puis on traverse vers le nord par Platane puis Fortune pour aller voir le grand pin remarquable et l'emplacement du mélèzin (regroupement de mélèzes) identifié milieux naturel d'intérêt dans le plan directeur de la Ville, et qui fera l'objet d'un parc de conservation de 5 hectares, en partie grâce aux pressions citoyennes.
  • Ensuite on redescend par la rue des Acadiens et se dirige vers le parc de Bon-Pasteur, rue du Bienheureux-Jean-XXIII pour parler du boisé des Sœurs.
Voici une carte du trajet (cliquez pour agrandir)



Pour plus d'information, écrivez à vivelesboises@yahoo.ca

vendredi 28 août 2009

Un article inspirant

Source : Le Devoir, 14 août

Un sondage montre que les Montréalais sont préoccupés par les enjeux environnementaux à la veille de la campagne électorale. «Ne touchez pas à ma montagne», avertissent en substance les Montréalais dans un sondage Léger Marketing commandé par le Conseil régional en
environnement de Montréal (CRE).

À en croire les résultats, le projet de développement immobilier sur le terrain de l'ancien Séminaire de philosophie inquiète les Montréalais. Sur les 576 Montréalais interrogés entre le 27 juillet et le 7 août, 91 % souhaitent la protection de tous les espaces verts et des milieux naturels des terrains institutionnels du mont Royal en y interdisant toute construction. «Oui, la question vise ce projet, mais aussi les projets futurs» dans le pourtour du parc du Mont-Royal, dit la directrice adjointe du CRE, Coralie Deny. «On craint un précédent et un morcellement des espaces verts institutionnels sur la montagne.»

«On ne devrait plus permettre de gruger les espaces verts. Ça ne veut pas dire pas de développement du tout, mais dans les espaces déjà occupés. À force de donner des autorisations à droite et à gauche, il restera seulement le parc», se désole-t-elle.La Ville a d'ailleurs accueilli hier «avec intérêt» le rapport de l'Office de consultations publiques de Montréal sur le projet de développement de l'ancien Séminaire de philosophie, déposé cette semaine. Elle «constate avec satisfaction» que l'OCPM accepte le changement de vocation d'institutionnelle à résidentielle et promet d'examiner les conditions liées à ce changement «avec la rigueur qui s'impose», notamment en poursuivant les discussions avec le ministère de la Culture et le promoteur. La Ville se réjouit également que l'OCPM appuie l'essentiel de son analyse sur le nouveau Plan de
protection et de mise en valeur du mont Royal.

Les personnes interrogées pour le CRE ont aussi approuvé un financement municipal pour de nouvelles plages autour de l'île, l'adoption de mesures pour réduire la circulation automobile et une interdiction du chauffage au bois. Cette dernière opinion est toutefois moins tranchée, puisque plus de 30 % des Montréalais tiennent assez à leur foyer pour désapprouver leur prohibition.

Le CRE-Montréal a soumis un questionnaire semblable aux différents partis en lice pour briguer la mairie à l'automne afin de sonder la conscience environnementale de chacun. «Nous espérons qu'en voyant ce que pensent les citoyens, ils en tiendront compte», dit Coralie Deny. Les aspirants maires ont jusqu'au 31 août pour fournir leurs réponses à l'organisme. «Sans minimiser les autres enjeux», elle «espère que l'environnement sera au coeur de la campagne».

jeudi 27 août 2009

BEE HUGS!

Je ne savais pas que les abeilles étaient si importantes.