lundi 30 mars 2009

Un autre Apéro allant vert en avril !

Date : Mercredi 8 avril 2009
Lieu : Musée de la civilisation de Québec
Heure : À partir de 17 h, intervention à 17 h 45
Réservation : Jusqu’au lundi 6 avril auprès de brunop@takt-etik.com

Intervenants : Normand Bélanger, président sortant de l’Association des producteurs de canneberges du Québec, et Jean-François Bieler, directeur général de Canneberges ATOKA, chef de fil canadien de l’industrie de la transformation.

Résumé : Au cours des dernières années, les producteurs et transformateurs de canneberges du Québec ont fait des efforts soutenus pour rendre leur industrie plus « verte ». En misant sur la recherche et le développement, ils ont bonifié leurs pratiques et démontré leur engagement envers l’environnement. Les 23 et 24 mars dernier, un colloque nord-américain a rassemblé à Québec près de 300 producteurs, transformateurs, chercheurs et universitaires, autour du thème « L’environnement au cœur de nos préoccupations ». Les Apéros allant vert vous invitent à découvrir cette agriculture raisonnée, responsable et innovante.

Concept des Apéros allant vert : Les Apéros allant vert sont un 5 à 7 mensuel consacré au développement durable dans la grande région de Québec. Ils sont organisés par la firme en éco-conseil Takt-etik en partenariat avec le Musée de la civilisation de Québec, le cabinet de relations publiques National, Direct-Terroir, la Barberie et Plan Nagua. Issus du phénomène des Green drinks, un réseau actif dans plus de 300 villes dans le monde, les Apéros allant vert réunissent la communauté de Québec chaque 2ème mercredi du mois autour d’une courte conférence-témoignage, en plus de favoriser les échanges…autour d’un verre ! Objectif : permettre à des gestionnaires, des professionnels et des associations de partager des idées, créer des liens, faire avancer des réflexions et lancer des initiatives, le tout dans une atmosphère conviviale.

Sur place, dégustez des produits du Marché de solidarité régionale de Québec accompagnés de boissons écoresponsables. L’entrée est gratuite.

dimanche 29 mars 2009

Vers des collectivités viables : une expérience à répéter

Le 17 mars dernier, j'ai eu la chance d'assister au forum de Vivre en ville, intitulé Se mobiliser pour agir !, un forum pour le développement viable des collectivités de la région de Québec.

Il y avait des invités de marque et l'invité d'honneur était Mike Burton, ancien maire de Portland, ville exemplaire en développement durable située tout près de Vancouver mais dans l'état de l'Oregon. L'organisation était impeccable. Tout s'est bien déroulé et les conférenciers étaient vraiment enrichissants.

Une assistance de qualité

La qualité des personnes qui ont assisté m'a beaucoup impressionnée. Il y avait beaucoup de fonctionnaires de la ville et j'y ai reconnu tous les urbanistes qui sont présents pour les consultations pour la ville-centre, mais pas ceux pour Charlesbourg. Question de budget j'imagine, même si je pense qu'ils auraient aimé. J'ai vu des élus dont m. Loubier, m. Maheu, madame Guérette, et de Charlesbourg le seul était m. Marcotte. Et bien sûr j'ai vu plein de monde des OSBL en environnement et en urbanisme vert. Et bien sûr il y avait quelques citoyens comme moi, nous bénéficiont d'un prix d'entrée réduit alors il y en avait quelques-uns. Sans oublier des conseillers de quartier !

Des conférenciers inspirants

En ce qui concerne les conférenciers, les attentes selon moi ont été dépassées. Monsieur Burton de Portland a été très généreux et très bon vulgarisateur pour transmettre son expérience sur Portland. Sa passion pour le développement durable et sa compréhension aprofondie sur tous les angles était inspirante, vraiment. Ils ont tous parlé de faire de l'urbanisme pour les gens, et non les autos, et de faire aimer la densité. Un projet comme la Cité verte (un article récent dans le Soleil se trouve ici) pour Québec devrait faire avancer ces idées, idées que Vivre en ville prône depuis 11 ans et qui passent toujours pour avant-gardiste, ce qui en dit long sur le chemin que nous avons à faire.

M. Daigle, un conférencier de Dieppe au Nouveau-Brunswick, nous a démontré que l'on peut construire 110 lots sur un terrain boisé destiné à 49 lots avec des rues standards, tout en conservant 40 % de forêt et des lisières en fond de cour. M. Barrère, d'Allemagne, nous a parlé de Fribourg avec des photos d'enfants crayonnant dans les rues et des parcs de stationnements mais avec des toits solaires, ainsi que des maisons rapportant 800 euros en énergie par mois plutôt que de le coûter. Ce quartier est un ancien quartier militaire recyclé en résidentiel, avec le tramway et des incitatifs pour ceux qui n'ont pas d'autos.

Les ateliers

Les ateliers en après-midi étaient nombreux, trop en fait selon moi, c'était très difficile de choisir. J'ai paticipé à celui sur la protection des milieux naturels et agricoles. J'ai eu la chance de connaître des personnes très compétentes et importantes en la matière : Marie-Josée Coupal, à l'aménagement du territoire, qui a écrit des ouvrages important lors de ses années au service de l'environnement de la Ville; Lucie Gagné, des milieux naturels, au service de l'environnement; Annie Caron, de la CMQ et très connaissante sur le sujet mais pour la métropole au complet; un urbaniste de l'ile d'Orléans, Alexandre Baker de l'AFQM était notre animateur et il y avait trois mordus comme moi. Les faits qui ont ressorti dans l'atelier :

Défis : Revoir le modèle de dévelopement et concilier développement et protection.
Forces : la Ville a tous les outils nécessaires (unanime) avec les guides et les plans directeurs. Elle doit seulement les appliquer.
Faiblesse : un modèle pour la ville manque à l'appel.
À mettre en place : imposer des projets pilote aux entrepreneurs. Nous étions entres autres très inspirés par Dieppe où l'entrepreneur n'était pas chaud à l'idée et en lui présentant des chiffres prouvant que ce serait rentable il a été convaincu.
Les obstacles : pas dans les mêmes mots, mais ce semblait vouloir dire cela, c'est le politique l'obstacle. Il faut que nos élus décident que cette façon de faire est la meilleure.
Moyens à mettre en place : Regrouper les professionnels pur qu'ils soient capables de partager ce projet de société à l'échelle de la ville.
Nos gestes : encourager les citoyens à se regrouper. Exemple : c'est des citoyens qui ont le pouvoir de construire des coops car ce n'est pas rentable pour les entrepreneurs. La ville doit également soutenir de telles démarches parce que les logements sont maintenant hors de prix.


Conclusion

En faisant un atelier avec des fonctionnaires de la ville aussi compétents, j'ai confirmé mes impressions que ça traîne de faire une ville qui suit le projet de société en développement durable principalement parce que les politiciens ne les écoutent pas. Les fonctionnaires eux sont au fait, ils essaient d'amener des idées mais comme on peut le voir sans la volonté politique, ça avance à pas de tortue.

L'heure pour la terre ce soir !

Voici un lien vers un site, cette organisme invite tous les citoyens du Canada à éteindre leur lumière ce Samedi le 28 mars à 20h30. http://wwf.ca/fr/earthhour.cfm
Petit geste simple et symbolique, je vais le faire avec les enfants ce samedi, il aime beaucoup quand on allume les chandelles. Est-ce que vous embarquez?

(merci à Julie Gagnon du groupe Aux arbres citoyens ! pour ce petit mot)

mercredi 25 mars 2009

Des nouvelles du RVQ 1400

Vraiment déçue du rapport de consultation du RVQ 1400
Il est ici. Malgré tous les appuis que le Comité d'arbres a reçu dans la demande de rendre permanent l'article 322, malgré le nombre d'intervenant qui l'ont mentionné pendant les consultations, malgré un article dans le Soleil un samedi peu après, consacré pratiquement entièrement à ce sujet, il n'est même pas mentionné dans le rapport de consultation. Monsieur Picard n'a clairement pas envie d'en entendre parler. Monsieur François Picard a raté une belle occasion de montrer sa bonne volonté à tous les citoyens et groupes environnementaux qui nous ont fait confiance en nous appuyant.

De plus, ni sur le rapport sur le règlement cadre, ni sur le rapport sur les règlements d'arrondissement on peut trouver les mémoires. C'est étrange et ma confiance envers le processus démocratique diminue.

Article dans le bulletin du CRE


Un article du Comité d'arbres sur l'article 322 a été publié à la page 16 du bulletin d'information du Conseil régional sur l'environnement – Capitale Nationale, en page 16. Une photo de la coupe à blanc sur Georges-Muir y est bien en évidence :
http://www.cre-capitale.org/documents/bulletin_mars09_001.pdf

Les étoiles étaient bien alignées pour cet article puisque le Conseil de ville se prononce sur RVQ 1400 au début du mois d'avril. Le bulletin est distribué à plusieurs élus, j'espère qu'il y en a au moins quelques-uns qui vont se rendre à la page 16... Surtout que le rapport de consultations ne mentionne même pas l'article 322.

Ils en ont du stock à lire avant chaque Conseil... Les quelques fois que j'y suis allée et que j'ai vu leurs piles de papier, je me suis souvent demandé pourquoi ils n'étaient pas tous équipés de portables, les arbres qui sont abattus pour eux, c'est phénoménal... Un portable fiable coûte environ 900 $ ces jours-ci.


mardi 24 mars 2009

Présentation d'un documentaire gratuit ce soir

L'Association forestière Québec métropolitain, en collaboration avec l'Ordre des ingénieurs forestiers du Québec, a le plaisir de vous inviter au lancement du documentaire « Bien vivre la forêt ».

Le visionnement de ce documentaire aura lieu à 19h00.



* QUÉBEC : Mardi 24 mars 2009, salle de théâtre Premier Acte
* BAIE-SAINT-PAUL : Vendredi 27 mars 2009
* SAINT-RAYMOND : Mardi 31 mars 2009

Pour plus d'informations veuillez prendre connaissance du communiqué en cliquant ici.

Toutes les personnes intéressées par le milieu forestier, son aménagement ou encore sa protection seront séduites par les images saisissantes et le contenu de ce documentaire car ce documentaire s'adresse autant aux étudiants, qu'aux intervenants du milieu scolaire, amateurs de plein air, propriétaires de chalet, chasseurs, pêcheurs ou travailleurs forestiers.


ENTRÉE LIBRE ! OUVERT À TOUS !

jeudi 19 mars 2009

Le Comité sera sur les Plaines le 24 mai

Connaissez-vous la Grande fête de la nature ? Cet évènement a lieu depuis 14 ans sur les Plaines d'Abraham et on y trouve plein de kiosques sur la nature et l'environnement. J'y était l'an passé comme bénévole pour Équiterre et cette année, la Commission a invité le Comité d'arbres de Charlesbourg. C'est une occasion unique de passer une belle journée de printemps à rejoindre des centaines de personnes, et plusieurs idées sont en mouture pour le kiosque. Une chose est sûre : les arbres seront à l'honneur.

Alors voici l'invitation, venez nous voir !

Dimanche, le 24 mai 2009 aura lieu la 14e édition de la Grande fête de la nature. De 10 h à 16 h 30, les amants de la nature et leur famille auront droit à toutes sortes d’activités des plus captivantes et enrichissantes. En plus de la visite unique des serres des plaines d’Abraham, la population pourra également rencontrer des spécialistes provenant de différents domaines et ainsi parfaire ses connaissances en horticulture, en écologie, en agriculture et en bien d’autres matières.

Chaque année, plus de 3000 personnes viennent célébrer la nature en plein air sur les plaines d’Abraham. (...)

samedi 7 mars 2009

Les couches lavables pour sauver des arbres !

Ben oui, les couches lavables c'est deux arguments de poids pour réduire les déchets et abattre moins d'arbres... (source)
  1. Elles sont faites de coton (souvent bio), qui prend 200 jours pour atteindre la maturité, alors que les couches jetables utilisent des arbres, qui prennent 40 ans pour atteindre la maturité : plus d'un milliard d'arbres chaque année au Canada seulement !!
  2. Un bébé prendra environ 7000 couches jetables de sa naissance à la propreté, ce qui équivaut à une tonne de déchets qui prend entre 300 et 500 ans à se dégrader. Un kit de couches lavables, c'est 24 couches pour un bébé de 8 à 32 livres...
À Québec on hésite à donner une subvention sous prétexte que ce ne sera pas assez pour encourager les parents. Les conseillers municipaux, qui ont un très bon salaire, ne semblent pas capables de se mettre dans la peau d'une jeune famille de classe moyenne qui regarde partout dans les fonds de tiroirs pour élever un enfant et joindre les deux bouts.

Les couches en coton ne sont vraiment plus ce qu'elles étaient


Bonne nouvelle, le bébé n'est pas trempe au bout d'une nuit dans une couche en coton maintenant. La couche lavable typique est constituée de trois morceaux : la culotte, une doublure absorbante qui s'enlève et un morceau de papier très doux qui est jetable. Quand il n'y a pas eu de solide, avec certains de ces papiers, on peut seulement la rincer, la sécher et la réutiliser. Sinon, elle va dans la cuvette et doit tremper un moment avant de chasser l'eau. La doublure va au lavage. Fini. Ma mère m'a raconté comment on désinfectait une couche de coton à l'époque, ouf... Mais il y a d'autre système encore plus faciles, quoique plus dispendieux.

Comment les parents s'en sortent dans le quotidien

Autour de moi j'ai un bon échantillonnage de nouveaux parents, 2 aux couches lavables et le reste ont déjà fini alors ils ont été aux jetables. Tous doivent acheter un genre de dispositif à couches souillées qui sied près du 'spot' à langer (la table à langer, le dessus de la sécheuse, le comptoir de cuisine...) Un de mes deux amis aux lavables m'a dit qu'avec les doublures en papier c'est génial. Cependant, quand ils font garder ou qu'ils sortent de la maison, ils ont des jetables.

Je reste avec certains questionnements cependant: et la garderie, est-ce que mon CPE va prendre mes lavables quand je retournerai au travail ? C'est sûr que même si on réduit l'utilisation des lavables entre 17 h et 8 h le matin, le coup de pouce au porte-feuille et à l'environnement est énorme.

On peut essayer ?

Eh oui c'est ce que j'ai découvert, parce qu'un kit pour amener un enfant à propreté peut coûter entre 335 et 600 bidous pour environ 25 couches lavables avec les culottes, les tis papiers et tout, on offre des kits d'essai à 118 $... Mais ce n'est pas tout. On peut louer un kit complet pour 15$ par semaine pour se faire une idée. (source)

Il faut se souvenir en regardant tout cela que même en prenant le moins cher (12-14 $ pour 24 couches, donc 7000 couches divisé par 24 fois 12-14 $ = 3500 $ à 4080 $) l'économie est substantielle. Reste à avoir les sous sur le coup, et c'est le piège pour les parents serrés. Il faudrait créer un réseau avec les CLSC pour que les parents qui ont fini de leurs couches lavables puissent les vendre à d'autres - quand c'est possible- en attendant les subventions.

Où aller ?


Ceci n'est qu'un bref tour d'horizon et si vous considérez les couches lavables, rien de mieux que d'aller voir en personne et jaser avec les représentantes qui sont toutes des mères. J'ai trouvé deux boutiques sympa :

À Ste-Foy
Mon bébé bio
3359b, chemin Sainte-Foy
Québec, Qc.
(418) 977-4250
Site et boutique virtuelle:
http://www.monbebebio.com
Lundi 10h00 à 17h00 (à compter du 2 mars 2009)
Mardi 10h00 à 17h00
Mercredi 10h00 à 17h00
Jeudi 10h00 à 20h00
Vendredi 10h00 à 20h00
Samedi 10h00 à 16h00
Dimanche FERMÉ

À Charlesbourg:
5059 boul. Henri Bourassa, Québec
Par la 73 nord entre Jean Talon et de La Faune

Heures d'ouverture Écocouche boutique
Lundi : Fermé
Mardi : 10h-17h
Mercredi : 10h-17h
Jeudi : 10h-20h
Vendredi : 10h-20h
Samedi : 10h-17h
Dimanche : Fermé

418-623-4901

Site : www.ecocouche.com

vendredi 6 mars 2009

Un bon coup de la Ville à souligner

Les amendes pour abattre les arbres vont augmenter. De l'article dans le site de Radio-Canada :

L'administration Labeaume veut afficher clairement son intention de faire de Québec un exemple de ville verte, notamment en augmentant les amendes pour l'abattage d'arbres illégal.

Actuellement, un contribuable pris en défaut reçoit une amende de 150 $. Or, la Ville souhaiterait faire passer cette amende de 500 $ à 700 $ par arbre pour un particulier.

Dans le cas des entreprises, l'amende pourrait atteindre plusieurs milliers de dollars. Le responsable du dossier de l'environnement au comité exécutif de la Ville de Québec, Raymond Dion, avance le chiffre de 20 000 $ pour les entreprises. « On va l'examiner et on va voir jusqu'où on peut se rendre avec la loi », dit-il.

L'opposition du Renouveau municipal de Québec se dit déjà en faveur de l'imposition d'amendes plus sévères. Avant d'être adopté, le nouveau règlement devra être soumis au service juridique et au service de l'environnement de la Ville de Québec. Le conseil municipal devra voter sur cette réglementation.

mercredi 4 mars 2009

Activités gratuites en mars

Presque gratuit le 10 mars 19h30

Conférence mensuelle du club d'horticulture et d'écologie de Charlesbourg
5
$ à la porte ou un gros 10$ pour être membre et assister à autant de conférences que vous le désirez (jusqu'en juin)
au centre culturel et communautaire de Charlesbourg
7575 boul. Henry-Bourassa.
La conférence de M François Charrier Du semi au Jardin.

Plus d'infos : http://shecharlesbourg.blogspot.com/

Mercredi 11 mars


C'est le dernier avant l'automne, et il touche un sujet intéressant pour tous !

Sujet : Les Urbainculteurs, un projet concret en développement durable

Date :
Mercredi 11 mars
Lieu : Musée de la civilisation de Québec
Heure : À partir de 17 h, intervention à 17 h 45
Réservation : Jusqu’au lundi 9 mars auprès de brunop@takt-etik.com

Intervenants : Kevin McMahon, directeur général de Takt-etik, et des membres de l'équipe des Urbainculteurs.

Résumé : La firme en éco-conseil Takt-etik a récemment contribué à la naissance des Urbainculteurs, un organisme à but non lucratif voué à la promotion de la culture maraîchère et ornementale en milieu urbain. Grâce à un système de bacs à haute productivité développé depuis 15 ans par Biotop en collaboration avec Agriculture Canada, n’importe quel toit, hall, terrasse ou balcon peut facilement être transformé en véritable potager. Pour les organisations - privées ou publiques -, l'installation d'un toit jardin et le don de la production à des banques alimentaires permettent de réaliser une action concrète avec des bénéfices environnementaux, sociaux et économiques. La conférence présentera les raisons d'être du projet, la technologie des bacs ainsi que leurs nombreux avantages.

Concept des Apéros allant vert : Organisés par la firme en éco-conseil Takt-etik en partenariat avec le Musée de la civilisation de Québec, Direct-Terroir, la Barberie et Plan Nagua, les Apéros allant vert sont un 5 à 7 mensuel consacré au développement durable. Issus du phénomène des Green drinks, un réseau actif dans plus de 300 villes dans le monde, les Apéros allant vert réunissent la communauté de Québec chaque 2ème mercredi du mois autour d’une courte conférence-témoignage, en plus de favoriser les échanges…autour d’un verre ! Objectif : permettre à des gestionnaires, des professionnels et des associations de partager des idées, créer des liens, faire avancer des réflexions et lancer des initiatives, le tout dans une atmosphère conviviale.

Sur place, dégustez des produits du Marché de solidarité régionale de Québec accompagnés de boissons écoresponsables. L’entrée est gratuite.

N'hésitez pas à faire suivre cette invitation dans votre réseau !

L’équipe de Takt-etik <http://www.takt-etik.com/>

Samedi 21 mars boutique pour mamans écolos à Charlesbourg

Grande vente Écocouche / Friperie La Berlue

Samedi 21 mars 2009 de 10h à 17h

Profitez du congé de taxe sur les produits de couches et d'allaitement. Rabais exclusifs partout en magasin 25% de rabais sur tous les vêtements de maternité et d'enfant 0-8 ans. Tirage d'un merveilleux panier cadeau. Profitez-en pour venir prendre un p'tit expresso décaf dans notre coin café !!! Pour une mine d'informations : 418-623-4901.

Mardi 24 mars

Conférence « Drainage urbain et changements climatiques: y a-t-il péril en la demeure ? »

L’Association pour la protection de l’environnement du lac Saint-Charles et des Marais du Nord (APEL) invite ses membres ainsi que la population à assister à une conférence présentée par monsieur Alain Mailhot, professeur à l’Institut national de recherche scientifique – Eau-Terre et Environnement. Ce dernier se spécialise en hydrologie urbaine, en modélisation des infrastructures urbaines et en analyse d'incertitude en modélisation. Sa conférence portera sur l’impact des changements climatiques sur les réseaux de drainage urbain. L’activité aura lieu le mardi 24 mars à 19h30 au Centre communautaire Paul-Émile-Beaulieu situé au 530, rue Delage.

lundi 2 mars 2009

Un autre petit tour au Conseil de ville.

Vraiment ce soir notre maire a été un exemple d'insolence, nous chuchotant de conclure, une telle attitude c'est désolant... Seul le président a le droit de faire cela et il est beaucoup plus respectueux que lui !!

J'ai décidé d'ailleurs de ne pas lui poser ma petite question ce soir, pour laquelle je m'était déplacé un soir de semaine comme d'autres de notre acabit : Johanne Elsener du Comité d'arbres de Sillery, Martine Sanfaçon de Forêt y voir, Philippe de notre Comité et d'autres...

J'ai questionné madame Guérette à savoir si elle avait trouvé réponse à son questionnement, si elle avait trouvé pourquoi on était si pressés d'ouvrir tout le territoire couvert par RVQ 1422, assez pour appuyer le règlement. Elle a saisi l'occasion comme je me doutais, pour dire que non, qu'elle souhaitait que l'on sorte les milieux naturels du plan directeur de ce règlement et qu'elle appuyait Martine Sanfaçon dans sa demande. J'avais l'impression de flotter en l'écoutant parce que j'avais enfin réussi à trouver comment poser une question au Conseil de ville pour avoir une réponse de bonne foi d'un conseiller. Bien sûr cette indépendante sort du cadre un peu, comparé aux autres.

The Dark Side of the Boom: Canada's Mordor

En anglais, mais super bon !!

Un article sur le Comité d'arbres de Sillery !

Bravo Johanne Elsener pour vos efforts, j'espère que ça va compter ce soir quand les conseillers vont voter sur le règlement RVQ1422 !

Si vous
êtes couche-tard et souhaitez voir le vote c'est dans les derniers articles à l'ordre du jour du Conseil de ville ce soir !

Jean Pascal Lavoie
Le Soleil

(Québec) Le boisé Neilson, dans le secteur Pointe-Sainte-Foy, pourrait bientôt céder sa place à un développement résidentiel de plus de 1000 logements. Une éventualité dénoncée par le Comité des arbres de Sainte-Foy-Sillery, qui souhaiterait préserver le boisé dans son ensemble.

Coincé entre le boulevard Neilson et le chemin des Quatre-Bourgeois, le boisé Neilson est considéré comme un boisé d'intérêt, avec la présence de nombreuses essences d'arbres et d'un milieu humide où vit une espèce de salamandre menacée.L'endroit est dans la mire des autorités municipales depuis déjà 1991, alors qu'une première planification envisageait la construction de plus de 1300 unités de logement. Aujourd'hui, afin de préserver la zone humide et les peuplements forestiers de valeur, la Ville de Québec projette un développement sur 60 % de sa superficie. Plus de 1000 unités de logement de trois à huit étages pourraient y être construites et l'avenue des Compagnons serait prolongée jusqu'au boulevard Neilson.

«Le boisé Neilson a déjà été amputé par la construction de résidences et d'un CHSLD, le long du boulevard Neilson. Nous voulons protéger ce qui reste», affirme Johanne Elsener, présidente du Comité des arbres de Sainte-Foy-Sillery.

Forêt riche en espèces

Le Comité convient qu'il est nécessaire de densifier la ville, mais il n'est pas d'accord avec la façon de faire. «On pourrait densifier des terrains de moindre intérêt, note Mme Elsener. La Ville ne manque pas de terrains vagues mal développés ou de terrains déjà asphaltés ou bétonnés.

«Il ne s'agit pas ici d'une forêt de peupliers, mais d'une forêt composée d'arbres nobles comme des chênes, des hêtres, des érables à sucre, des pins blancs. Elle comporte aussi un peuplement de pruches jugé exceptionnel», insiste-t-elle. Le Comité se rendra au conseil municipal ce soir pour convaincre la Ville de surseoir à l'adoption du règlement.

Du côté de la Ville, on indique que le Plan d'aménagement d'ensemble du secteur a déjà été soumis à la consultation publique et adopté au conseil.

De plus, on souligne que la Ville s'est pliée aux exigences du ministère du Développement durable, de l'Environnement et des Parcs pour assurer la protection d'une zone humide et d'un boisé d'intérêt. «Nous avons même protégé plus large que ce que le ministère exigeait, affirme François Picard, vice-président du comité exécutif. Il faut aussi penser à développer notre ville, la densifier. D'ailleurs, il s'agit d'un secteur stratégique où il y a déjà plusieurs unités de logement, du transport en commun et d'autres services.»

Le projet de règlement sera soumis ce soir au conseil municipal et, s'il est adopté, ouvrira la porte au développement du boisé Neilson.